À LA UNE

A 46 ans, Christophe Fargier est le co-fondateur de la marque Oppidum. Après une riche carrière d’ingénieur informaticien, il quitte son emploi en 2018 pour se consacrer entièrement à la fabrication de savons dans le Tarn, près de Toulouse et sa région natale. Une aventure entrepreneuriale et un nouveau projet de vie autour de la

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Chana Cynamon, 23 ans, est l’une des 5 lauréates de la deuxième édition du Concours Corpo35 qui révèle les jeunes talents internationaux de la parfumerie. En entrant à l’Ecole Supérieure du Parfum, elle se voyait déjà créer ses parfums dans un atelier d’artiste du sud de la France. C’est une toute autre réalité qu’elle a

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Le déodorant est un indispensable de la salle de bain. Les formules “anti-transpirantes”, longtemps plébiscitées pour leur efficacité, sont aujourd’hui décriées : contrairement aux déodorants classiques qui luttent contre les mauvaises odeurs grâce à des agents antibactériens (comme l’alcool) ou des substances absorbantes, les anti-transpirants agissent directement sur le processus de sudation : les sels

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Sacrés labels En 2018, la publication de la norme internationale ISO 16128 rebat les cartes au pays du bio. Les industriels issus de la cosmétique dite “conventionnelle” ont désormais le champ libre pour apposer les mentions “bio” et “naturel” sur des produits contenant des ingrédients controversés [voir épisode 1 : la norme ISO 16128 ou

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Épisode 1 sur 2 : la norme iso 16128 ou le retour du greenwashing L’année 2018 a vu se dérouler une petite révolution dans l’industrie cosmétique avec la publication d’une nouvelle norme internationale, répondant au doux nom de ISO 16128. Son objectif ? Harmoniser la définition du bio dans les cosmétiques. L’intention est louable, puisque

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Les vernis à ongles sont sans doute les produits les plus toxiques que l’on peut trouver dans une salle de bain, au point d’être déconseillés aux femmes enceintes, certains ingrédients pouvant perturber le bon développement du fœtus. Les marques ont bien assimilé la réticence croissante des consommateurs-trices à utiliser des produits potentiellement dangereux pour la